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Une protéine issue du requin démontre son efficacité contre la maladie de Parkinson.
La squalamine permettrait d’inhiber l’agrégation toxique de protéines dans le système nerveux, caractéristique de la maladie de Parkinson. Le requin vous terrifie ? Il pourrait pourtant vous sauver si par malheur, vous développiez la maladie de Parkinson. Une étude révèle le pouvoir d’une protéine synthétisée par le foie du Squalus acanthias, un requin de petite taille connu sous le nom d’aiguillat commun ou « chien de mer », réputé pour son agressivité apparente. Ces travaux, publiés dans la revue PNAS, montrent en effet que cette protéine, la squalamine, pourrait avoir un effet thérapeutique chez les patients atteints de Parkinson. Si cet effet se confirme dans d’autres études, il s’ajouterait à la liste des bénéfices apportés…