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La piste des œstrogènes dans la maladie de Parkinson
On savait déjà que les hommes et les femmes ménopausées avaient un risque plus élevé de développer la maladie de Parkinson que les femmes non ménopausées. Une étude récente, menée chez le modèle murin, montre que les œstrogènes peuvent contribuer au ralentissement de la mise en place de la maladie neurodégénérative. Lumière sur l’étude. Le rôle des œstrogènes Les œstrogènes sont des hormones sécrétées par le corps, et notamment par les ovaires. Mais aussi, en quantité moindre, par les glandes mammaires, les testicules, les glandes surrénales et le tissu adipeux. Ils favorisent le développement des caractères sexuels secondaires (règles, croissance des seins, ovulation) chez la jeune femme à la puberté. A la ménopause, les ovaires…