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La piste des œstrogènes dans la maladie de Parkinson
On savait déjà que les hommes et les femmes ménopausées avaient un risque plus élevé de développer la maladie de Parkinson que les femmes non ménopausées. Une étude récente, menée chez le modèle murin, montre que les œstrogènes peuvent contribuer au ralentissement de la mise en place de la maladie neurodégénérative. Lumière sur l’étude. Le rôle des œstrogènes Les œstrogènes sont des hormones sécrétées par le corps, et notamment par les ovaires. Mais aussi, en quantité moindre, par les glandes mammaires, les testicules, les glandes surrénales et le tissu adipeux. Ils favorisent le développement des caractères sexuels secondaires (règles, croissance des seins, ovulation) chez la jeune femme à la puberté. A la ménopause, les ovaires…
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Un bioproduit riche en L-Dopa, sans effet secondaire et neuro-protecteur, un espoir dans la maladie de Parkinson
Enfin! Une équipe Européenne, spécialisée dans les maladies neurodégénératives, a publié des études précliniques et cliniques d’un complément alimentaire d’origine naturelle, commercialisé sous le nom AtremoPlus.Les résultats exceptionnels des études démontrent que le produit augmente significativement le niveau de dopamine et de noradrénaline dans l’organisme et améliore par la même occasion les symptômes de la maladie. Aucun effet secondaire indésirable n’a été constaté. Les études révèlent également un fort potentiel neuro-protecteur qui pourrait aider dans le domaine de la prévention et du ralentissement de la progression de la maladie. S’agirait-il enfin d’une avancée majeure dans la lutte contre la maladie de Parkinson ? Origines de la maladie de Parkinson La maladie de…
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Une nouvelle étude liée au système immunitaire dans la maladie de Parkinson
Le comportement des cellules immunitaires dans le sang est tellement différent chez les patients atteints de la maladie de Parkinson qu’il préconise un nouveau type de médicament supplémentaire, capable de réguler le système immunitaire et ainsi d’empêcher la détérioration du cerveau. Telles sont les perspectives d’une nouvelle étude sur laquelle les chercheurs du département de biomédecine de l’Université d’Aarhus, au Danemark, sont en retard. L’article vient de paraître dans la revue scientifique Troubles du mouvement. « Le projet de recherche confirme une théorie croissante selon laquelle la maladie de Parkinson est non seulement une maladie du cerveau, mais également un lien avec le système immunitaire. Tant dans le cerveau que dans le…