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« J’ai la maladie de Parkinson, mais elle ne me contrôle pas. »
Jamie Fobert, alors âgé de 40 ans, a sangloté durant les deux heures qu’a duré le trajet de retour chez lui, à Belleville, en Ontario, après son rendez-vous chez le neurologue. Au cours des jours suivants, il a fait part du diagnostic à sa famille et à ses employeurs tout en tentant de continuer à vivre normalement. Au cours des années suivantes, il allait repenser sa vie. C’est son fils aîné qui a d’abord remarqué que son père ne balançait pas le bras droit en jouant au soccer. Des consultations avec son médecin de famille et des médecins du sport l’ont mené à ce rendez-vous fatidique avec le neurologue. « J’ai entendu…