-
Parkinson: Traiter la maladie par des anticorps monoclonaux.
Les anticorps monoclonaux, dont on parle pour traiter le Covid, il en est question aussi pour traiter la maladie de Parkinson ! Rien n’est fait encore, mais des essais sont en cours. On parle de vaccin aussi. Dans les deux cas, il s’agit de cibler une protéine. Quand on veut traiter le Covid, on cible ce qu’on appelle la protéine Spike, c’est la protéine qui permet au Sars-cov 2 de pénétrer dans nos cellules, et c’est ca qu’on veut empêcher. Dans le cas de la maladie de Parkinson, la protéine qui pose problème c’est la protéine Alpha Synucléine :c’est une protéine présente chez tout le monde au niveau du système nerveux central,…
-
La femme jeune et la maladie de Parkinson
Introduction On a peu écrit sur l’effet du genre sur le développement et la gestion de la maladie de Parkinson. En fait, dans l’édition de 1998 de Neurologic Disease In Women1, les seules références à la maladie de Parkinson étaient de l’inclure dans une section examinant les fréquences sexo-spécifiques des différentes maladies neurologiques (où il a été noté que la maladie de Parkinson survient un peu plus fréquemment chez les hommes) et dans une liste de troubles qui affectent les femmes âgées. Cependant, une attention récente a été portée sur la relation entre les niveaux d’hormones sexuelles et le développement de la maladie de Parkinson. Ce chapitre passera en revue…
-
Parkinson : à Grenoble un essai clinique la « neuroillumination » pour ralentir la maladie
Plusieurs médecins et chercheurs grenoblois lancent un essai clinique pour ralentir l’évolution de la maladie de Parkinson. Leur sonde lumineuse, implantée dans le cerveau, pourrait aider 6,5 millions de malades dans le monde. Le mot « neuroillumination » est encore inconnu du dictionnaire, mais il pourrait changer la vie de plusieurs millions de personnes à travers le monde. Le projet Near Infra Red s’appuie sur cette technologie pour traiter les personnes atteintes de Parkinson, une maladie neurodégénérative causant des tremblements et une raideur musculaire. L’essai clinique a été lancé par le CHU et l’Université Grenoble Alpes, la société Boston Scientific Corporation et le Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA). Le dispositif testé par les médecins et les chercheurs…
-
Parkinson: de nouveaux médicaments pour traiter la dyskinésie causée par la Lévodopa
Le professeur de pharmacie Daniel Lévesque collaborera avec la plateforme d’IA de Valence Discovery pour le traitement de la dyskinésie causée par la lévodopa dans la maladie de Parkinson. L’IRICoR, un centre pancanadien de découverte de médicaments et de commercialisation de la recherche, l’Université de Montréal, l’Institut de recherche en immunologie et en cancérologie (IRIC) de l’Université de Montréal et Valence Discovery, un chef de file émergent dans la conception de médicaments par l’intelligence artificielle, ont annoncé aujourd’hui une collaboration axée sur la mise au point de médicaments candidats pour le traitement de la dyskinésie causée par la lévodopa dans la maladie de Parkinson. La maladie de Parkinson est une affection…
-
Début des essais « la lumière » pour lutter contre la maladie de Parkinson.
La luminothérapie peut aider à améliorer l’humeur, à guérir les plaies et à renforcer le système immunitaire. Peut-il également améliorer les symptômes de la maladie de Parkinson? Un essai inédit qui doit être lancé cet automne en France vise à le découvrir. Chez sept patients, un câble à fibre optique implanté dans leur cerveau délivrera des impulsions de lumière proche infrarouge (NIR) directement à la substantia nigra, une région profonde du cerveau qui dégénère dans la maladie de Parkinson. L’équipe, dirigée par le neurochirurgien Alim-Louis Benabid de l’Institut Clinatec – un partenariat entre plusieurs instituts de recherche financés par le gouvernement et l’industrie – espère que la lumière y protégera les cellules de la…
-
Parkinson: Difficultés de communication. Participez au projet en répondant au Questionnaire !
Développement transfrontalier d’un outil numérique évolutif Réponse aux problèmes Notre projet s’inscrit dans le développement transfrontalier d’un outil numérique évolutif d’aide à la communication, avec et pour les patients atteints de la Maladie de Parkinson (MP) et leur entourage. Par sa dynamique transfrontalière, il souhaite renforcer les réseaux de santé et de soins spécialisés, afin de favoriser l’accès aux soins, la continuité et la coordination de l’accompagnement des personnes avec la MP, mais aussi de leurs aidants. A cette fin, 6 MT (Module de Travail) complémentaires sont définis : Gestion de projet (MT1) – Module destiné au pilotage du projet et du consortium associé de sorte à assurer l’atteinte des…
-
Interview du Dr Olivier Soulier: « La maladie de Parkinson ou la pulsion contrariée »
Le Dr Olivier Soulier est un médecin Homéopathe. Il a beaucoup travaillé sur les maladies réputées difficiles comme la Sclérose en Plaques qu’il soigne depuis 25 ans avec de très bons résultats. Il se penche notamment dans son interview sur la maladie de Parkinson. Voici son interview complet paru dans un article de presse ou il aborde sa vision des causes de la maladie. Lire la page 1 cliquez ici Lire la page 2 cliquez ici Lire la page 3 cliquez ici Lire la page 4 et fin cliquez ici
-
« J’ai la maladie de Parkinson, mais elle ne me contrôle pas. »
Jamie Fobert, alors âgé de 40 ans, a sangloté durant les deux heures qu’a duré le trajet de retour chez lui, à Belleville, en Ontario, après son rendez-vous chez le neurologue. Au cours des jours suivants, il a fait part du diagnostic à sa famille et à ses employeurs tout en tentant de continuer à vivre normalement. Au cours des années suivantes, il allait repenser sa vie. C’est son fils aîné qui a d’abord remarqué que son père ne balançait pas le bras droit en jouant au soccer. Des consultations avec son médecin de famille et des médecins du sport l’ont mené à ce rendez-vous fatidique avec le neurologue. « J’ai entendu…
-
La piste des œstrogènes dans la maladie de Parkinson
On savait déjà que les hommes et les femmes ménopausées avaient un risque plus élevé de développer la maladie de Parkinson que les femmes non ménopausées. Une étude récente, menée chez le modèle murin, montre que les œstrogènes peuvent contribuer au ralentissement de la mise en place de la maladie neurodégénérative. Lumière sur l’étude. Le rôle des œstrogènes Les œstrogènes sont des hormones sécrétées par le corps, et notamment par les ovaires. Mais aussi, en quantité moindre, par les glandes mammaires, les testicules, les glandes surrénales et le tissu adipeux. Ils favorisent le développement des caractères sexuels secondaires (règles, croissance des seins, ovulation) chez la jeune femme à la puberté. A la ménopause, les ovaires…
-
Un bioproduit riche en L-Dopa, sans effet secondaire et neuro-protecteur, un espoir dans la maladie de Parkinson
Enfin! Une équipe Européenne, spécialisée dans les maladies neurodégénératives, a publié des études précliniques et cliniques d’un complément alimentaire d’origine naturelle, commercialisé sous le nom AtremoPlus.Les résultats exceptionnels des études démontrent que le produit augmente significativement le niveau de dopamine et de noradrénaline dans l’organisme et améliore par la même occasion les symptômes de la maladie. Aucun effet secondaire indésirable n’a été constaté. Les études révèlent également un fort potentiel neuro-protecteur qui pourrait aider dans le domaine de la prévention et du ralentissement de la progression de la maladie. S’agirait-il enfin d’une avancée majeure dans la lutte contre la maladie de Parkinson ? Origines de la maladie de Parkinson La maladie de…